Dans un café
Voight : J'te paie un p'tit déj ?
D'Anthony : Non, j'ai pas faim.
Voight : J'ai parlé avec ta tante, elle a accepté, elle est prête à t'accueillir et s'occuper de toi.
D'Anthony : Quand est-ce que je peux y aller ?
Voight : Elle vient te chercher demain soir.
D'Anthony : C'est trop tard. Elle doit venir avant.
Voight : Elle a posé un jour de congé à son boulot, elle doit se taper la route depuis Pittsburgh. Elle peut pas faire plus vite. Il se passe un truc que je devrais savoir ?
D'Anthony : Trayzell a dit qu'il voulait que je fasse un coup.
Voight : Quand ?
D'Anthony : J'en sais rien, j'dois juste me tenir prêt. Il veut que je refasse mes preuves.
Voight : Ok, tu vas venir avec moi, tu seras en sécurité dans mon appart.
D'Anthony : J'ai pas besoin d'un endroit où crécher, je dois foutre le camp et vous aviez juré de m'aider !
Voight : Et je le ferai.
D'Anthony : J'vous faisais confiance.
Chez les Dawson.
Antonio : Tu mets Diego à l'école aujourd'hui ?
Laura : Non, j'préfère attendre lundi. On peut le laisser soufflé encore un peu après ce qu'il a vécu.
Antonio : C'est une de mes indics.
Laura : Jasmine ?
Antonio : Ouais.
Laura : Elle te contacte souvent.
Antonio : C'est une bonne indic.
Laura : J'voudrais que tu me la présente.
Antonio : Oh, ça promet. Ma femme et la prostituée qui me rencarde.
Laura : Je voudrais que tu l'invites à dîner.
Antonio : Ma puce, si on apprend qu'elle est venue ici, j'suis viré.
Laura : Eh ben on n'a qu'à la voir en terrain neutre. Invite la au restaurant.
Antonio : Non.
Laura : Est-ce qu'il y a une raison, pour que t'ai pas envie que je la rencontre ?
Antonio : Mon cœur, ta aucune raison de t’inquiéter de me savoir en contact avec une toxico qui fait le trottoir parque que ça fait partie de mon taf.
Laura : Alors, dans ce cas, on peut très bien dîner avec elle.
Au district.
Adam : Eh, j'ai déjà un truc vendredi soir mais je, je peux annuler si vous croyez que...
Alvin : C'est quoi ?
Adam : C'est, c'est ma fête de fiançailles.
Alvin : Eh, je suis pas invité ?
Adam : Quoi ? Sérieux ? Vous croyez que je vais jouer à ça ? « Ma chérie tient, je te présente mon collègue le mec marié tu sais ? Oui c'est vrai, il vit dans son garage, mais t'inquiète je finirai pas comme lui ». Sans vouloir vous vexez, j'ai aucune envie qu'elle vous rencontre.
Erin : Ça y est vous avez fixés une date ?
Adam : Euh... On est le 21, alors c'est dans 6 mois jour pour jour.
Jay : Oh merde on est le 21.
Erin : Ouais c'est souvent le cas après le 20. Y a quoi le 21 ?
Jay : Rien, rien.
À l'étage des Renseignements.
Voight : On vient de récupérer une affaire qui a déjà fait l'objet de 2 enquêtes. Une patrouille a suivi 3 membres de gangs parmi les plus surveillés de la ville, jusqu'à cette adresse sur Carpenter. La criminelle et les stups, n'ont rien trouvé alors le Commandant veut notre unité sur le coup. On décolle dans 5 minutes.
Antonio : Oh, eh qu'est-ce que tu fous ?
Adam : Beh, j'ai besoin d'un bureau.
Antonio : Pas celui-là. C'était celui de Willhite. Je le dirai quand quelqu'un pourra l'utiliser.
Adam : Ok.
Dans une rue.
Alvin : Visuel sur l'entrée principale.
Dans la voiture de Voight.
Antonio : Visuel sur la façade arrière.
Dans la voiture d'Erin.
Jay : Bien reçu. Visuel sur la façade avant et une partie de la rue.
Dans la voiture de Voight.
Antonio : Si vous voyez un suspect sortir de la maison, préparez-vous à le suivre.
Voight : Al et Ruzek approchez-vous et essayez de voir s'il y a du mouvement.
Dans la rue.
Alvin : Bien reçu.
Dans la voiture d'Erin.
Erin : Attendez ça bouge par ici.
Dans la voiture de Voight.
Antonio : C'est qui ce naze ?
Dans la voiture d'Erin.
Jay : IL A UN FLINGUE !
Coups de feu.
Dans la maison.
Adam : Restez à terre !
Alvin : RAS.
Erin : Police ! RAS.
Voight : L'autre est mort.
Jay : Celui la est encore en vie.
Alvin : Urgence vitale. Il nous faut une ambulance.
Jay : Met ça.
Adam : Quoi ?
Jay : Il va se vider de son sang faut comprimer la blessure.
Alvin : Coups de feu tirés par la police. Suspect à terre. Agents en civil sur les lieux.
Adam : Ouais, la c'est bon.
Dans la cuisine de la maison.
Erin : Par ici ! Des balles perforantes. Eh, venez voir ça.
Antonio : Ta trouvé quoi ? De l'insuline. L'un des suspects doit être diabétique. Ou pas.
Erin : Ça se vend au marché noir ce genre de médoc ?
Antonio : Pas à ma connaissance. Par contre, regardez pile la bonne taille pour planquer des balles.
Voight : Bien joué.
Au bureau de Platt.
Burgess : Dites Sergent. Vous avez l’écusson de Calhoun county ?
Platt : Non, il est très beau celui-ci.
Burgess : Le mec de ma cousine bosse à la police de Corpus Christi.
Platt : Tu remercieras ta cousine de ma part.
Atwater : Moi aussi je vous en ai offert un.
Platt : Ouais, j'avais oublié, je l'ai échangé contre un autre.
Atwater : Bien joué.
Burgess : Merci. Mes copines viennent me voir et je veux leur faire faire le grand tour, j'aimerai autant que Platt vienne pas tout gâcher.
Dans les escaliers
Alvin : Ta vu la psy ?
Adam : La psy ? J'ai pas besoin de voir de psy.
Alvin : Ouais ben, j'ai pas besoin de porter de pantalon et pourtant tu vois j'en porte un. C'est obligatoire.
A l'étage des Renseignements.
Jay : J'passerai prendre un truc pour le dîner.
Voight : Bon alors.
Jay : Non c'est pas la peine de discuter.
Voight : Voici Edward Jelko, l'homme qui est décédé, petit dealer de bas étage et voici Peter Thomas Banfill, notre tireur. Actuellement dans le coma au county. Jelko croyait sûrement comme nous que Banfill planquait un truc balaise et il s'est pointé pour se servir.
Antonio : C'est de M995, recouverte de téflon pour perforer le kevlar. La balistique a pu les relier à plusieurs homicides récents.
Erin : Et on a trouvé une centaine de ses boîtes sur les lieux, y a écrit Type R dessus, classification canadienne de l'insuline.
Voight : Avec un peu de chance, notre visite surprise aura rendu les trafiquants d'armes un peu nerveux et donc susceptibles de faire des conneries. Alors, gardez les yeux ouverts. Erin ? J'peux te voir une seconde ?
Erin : Hum.
Dans le bureau de Voight.
Erin : Je ferme la porte ?
Voight : Pars du principe que je veux toujours qu'elle soit fermée.
Erin : Ah beh ça au moins, c'est clair.
Voight : Justin a obtenu une remise de peine, il est libéré vendredi soir.
Erin : C'est génial !
Voight : Il veut savoir si tu pourras être présente, si tu peux pas, ça n'a aucune importance.
Erin : Tu veux rire ? Bien sur que c'est important ! Il sort de prison.
Voight : Ouais.
Erin : Quoi ? Quoi ? Je comprends pas, on dirait que tu viens d'apprendre une mauvaise nouvelle.
Voight : Sortir de taule, c'est plus dur que d'y entrer.
Erin : Hank... S'il te plaît. C'est de ton soutien qu'il aura besoin à sa sortie. La, la manière forte ça n'a rien donnée.
Voight : Rends-moi un service. Dit à Antonio que je reviens dans 1 heure. Ok ?
Erin : Ouais.
Dans le parking.
Antonio : Ta entendu parler d'un trafic de balles perforantes dans le coin ?
Jasmine : Non. J'peux me renseigner.
Antonio : Tu veux bien ?
Jasmine : Et c'est tout ? La prochaine fois envoie-moi un message, ça m'évitera de me taper une demi-heure de caisse.
Antonio : Je voulais savoir si ça te plairait d'aller dîner ?
Jasmine : Toi et moi ? C'est un rendez-vous ?
Antonio : C'est oui ou non ?
Jasmine : Quel jour ?
Antonio : Demain, à 19h ?
Jasmine : J'ai un truc demain soir.
Antonio : Ta qu'a annulé.
Jasmine : Si t'es pas prêt à me filer 400 dollars pour couvrir ma perte de salaire, faudra remettre ça à un autre jour.
A l'étage des Renseignements.
Erin : Eh, j'ai trouvé d’où provenait l'insuline. Un labo près de Toronto, « Markham Fourniture Médicale ». Ils envoient leur livreur ici un jeudi sur 2, il a quitté Toronto à 5h ce matin.
Antonio : Il doit y avoir des numéros de suivi sur leurs produits.
Erin : Ouais.
Antonio : Alors demande leur la liste et localise les avec le GPS. Tu l'as déjà fait ?
Erin : Mais ouais. Atwater et Burgess sont en train de suivre le signal.
Antonio : Excellent !
Erin : Tu veux bien me faire plaisir, ne me fait pas une de ces explosions de doigts façon bombe atomique, parce que j'ai horreur de ça ! Et si c'est ton truc j'aime autant que tu m'en tapes 5. Plus jamais !
Dans le couloir.
Jay : Salut.
Erin : Salut.
Adam : Eh, Halstead ? Des nouvelles de Banfill ?
Jay : Il est toujours en soins intensifs. Ta vu la psy ?
Adam : J'y vais cette aprèm, et je vais faire une annonce publique pour qu'on arrête de me le demander.
Jay : Wooh, à qui tu crois que tu t'adresses, tu viens à peine d'arriver chez nous.
Adam : C'est juste qu'on n'a pas arrêté de me le demander.
Jay : C'est pas une raison !
Adam : Non c'est vrai, c'est vrai je suis désolé.
Jay : Ok.
Dans une maison.
Homme : Ta joué 2 fois de suite là.
Homme 2 : Mais non j'ai joué qu'une fois.
Trayzell : Lieutenant Voight.
Voight : J'ai fais du chemin depuis. Tu me connais comment ?
Trayzell : Casper.
Voight : Ah ouais, Casper, il faisait partie des Vice Lords. J'ai appris qu'il était en taule.
Trayzell : Ouais ça c'est pas très bien passer pour lui.
Homme : A toi.
Trayzell : Moins bien que pour toi on dirait.
Homme 2 : Je peux pas jouer.
Trayzell : Écoute, j'te connais et je connais tes méthodes, mais t'es réglo maintenant non ?
Voight : J'voudrais te dire un truc en privé.
Trayzell : Si tu veux me parler, c'est ici.
Voight : D Anthony j'veux que tu le laisses partir. En échange tu gagnes une carte « sortie de prison »
Trayzell : Alors tu veux Little D ? T'es de ce genre-là ?
Voight : Es-ce que je me suis permis de te manquer de respect ?
Trayzell : J'ai investi beaucoup de temps et beaucoup de poignons dans ce morveux, tu devrais plutôt m’amener un paquet de billets, à la place de ta petite carte de visite pourrie ! 10 000 dollars et j'te le laisse.
Voight : Je reprendrai contact.
Dans une voiture de patrouille.
Burgess : A droite sur Morgan Street. Dit, tu pourrais me trouver une voiture ?
Atwater : Ah, je sais pas trop, y a des délais, ça dépend pour quand c'est...
Burgess : Ouais je sais...
Atwater : … tu vois ?
Burgess : … seulement c'est très important, c'est mes copines hôtesse de l'air que j'ai connues...
Atwater : Attends, des hôtesses de l'air ? Ta jamais parlée d'hôtesse de l'air.
Burgess : Ouais, ce sont les 3 filles avec qui je naviguais.
Atwater : Ouais, je pense que, ouais, je pourrai t'avoir une caisse, t'aurai dû le dire plus tôt, je vais t'avoir un truc classe.
Burgess : C'est là. Y a personne à qui livrer des médocs ici.
Devant le bâtiment.
Atwater : POLICE ! Les mains en l'air.
Erin : Ouais, c'est bien notre livreur. George Wilenko, 41 ans. Il travaillait chez Markham depuis 17 ans. Pas de casier, parfaitement en règle, jamais un souci à la douane. On est loin d'un profil de trafiquant.
Alvin : Ta vus le gobelet ?
Erin : Une belle trace de rouge à lèvres.
Dans le sous-sol du district.
Antonio : Voila qui devrait nous intéresser, des C7, ce sont des fusils d'assaut utilisés par l'armée canadienne. Une de leurs armureries a été cambriolée. 3000 munitions et 50 fusils ont été volés.
Alvin : Hum, y a un vrai marché pour ça ici.
Antonio : La femme de la victime l'a accompagné ce matin, Halstead et Lindsay vont l'interrogée.
Voight : Bien.
Dans le couloir.
Voight : Erin ? L'affaire Severide dont tu t'es chargé à la caserne 51 ?
Erin : Ouais, quand il a failli se faire tuer par Vince Keeler le jour du blackout ?
Voight : Ouais, celui-là, il fait pas semblant d'être dangereux.
Erin : C'est ce que j'ai dis à Severide quand je lui ai demandé de rester le plus loin possible de lui.
Voight : On vient de nous signaler la disparition de sa sœur.
Erin : Ça fait longtemps ?
Voight : 16 heures, c'est une adulte donc normalement on peut rien faire avant le délai de 24h, mais comme c'est la sœur d'un pompier, autant dire l'un des nôtres, la direction a déjà mis des hommes sur le coup. Ils ont dit qu'ils nous appelleraient en renfort au cas où. Mais en attendant, on doit avancer sur notre affaire.
Devant le district.
Burgess : Ta bien raison.
Atwater : C'est vrai, non ?
Hailey : Oh non, non, ne nous arrêtez pas, s'il vous plaît !
Burgess : Heeey ! Trop bien, vous voilà enfin à Chicago !
Hailey : Salut ma belle !
Burgess : Salut ! Comment ça va les filles ?
Véra : Salut !
Burgess : Salut toi ! Oh, ça fait plaisir ! Suivez-moi, je vais vous faire la visite guidée.
Juliette : Génial !
Atwater : Kévin Atwater.
Burgess : Alors, Hailey, Juliette, Véra, mon coéquipier.
Atwater : C'est moi qui veille sur elle.
Hailey : Alors, elle n'a pas grand-chose à craindre.
Atwater : Ooh. J'ai un peu chaud là.
A l’accueil du district.
Burgess : Et voilà !
Hailey : Ah c'est top !
Véra : C'est impressionnant !
Juliette : C'est clair !
Burgess : Salut chef !
Platt : Qu'est-ce qui se passe ?
Burgess : Les filles, voici le Sergent Trudy Platt !
Hailey : Bonjour !
Véra : Enchantée !
Platt : Mesdemoiselles.
Burgess : Ici, c'est son territoire et elle le dirige avec poigne et intégrité, rien ne lui échappe ! Suivez-moi ! Je vais vous montrer les...
Platt : Non personne !
Burgess : Non ! Écoutez, je, je.....
Platt : Trouble à l'ordre public...
Burgess : … voulais seulement...
Platt : ...sous emprise de l'alcool chez Duffy.
Burgess : Ça concerne la moitié des clients de ce bar.
Platt : La tu viens déjà de réduire de moitié la liste des suspects. Hey Tommy ? Tu peux me remplacer ? Mesdemoiselles, à nous, alors, j'ai cru comprendre que vous vouliez visiter les locaux du district 21. Je suppose que vous connaissez le nom d'Al Capone ?
Hailey : Il a été emmené ici ?
Platt : Tout le monde a été emmené ici ! Allons-y !
Atwater : Ouais faudra qu'on se fasse ça !
Policier : Ok, ça marche !
Atwater : Je dois ya aller.
Policier : Je comprends
Dans le bureau de la psy.
Adam : Pour être parfaitement honnête, je suis plutôt content de la façon dont ça c'est passer, si demain je me retrouve face à une situation où je me dis c'est lui ou c'est moi je referai exactement pareil.
Psy : On peut se sentir contrarié d'avoir fais quelque chose même si cette chose, était justifiée.
Adam : Je le suis pas ! Docteur, je le suis pas !
Psy : Pas quoi ?
Adam : Contrarié.
Psy : Vous n'êtes pas marié, y a-t-il quelqu'un dans votre vie ?
Adam : Pourquoi ? Vous voulez m'inviter à sortir ? Y a quelqu'un dans ma vie, on est officiellement fiancés depuis 1 mois environ.
Psy : Et que ressent-elle à propos de ce que vous venez de vivre ?
Adam : Elle est au courant de rien.
Psy : Ca peut arriver à chacun de nous d'être confronté à une situation dont il nous est difficile de parler...
Adam : Écoutez, est-ce que... vous voulez que je vous dise que je me sens coupable ? C'est ce que vous voulez c'est ça ?
Psy : Pas du tout, non.
Adam : Alors on a fini ?
Psy : Je vais vous demander de prendre le reste de votre journée.
Dans la salle de repos.
Mme Wilenko : Pour ma mère, Chicago est une ville dangereuse. Mais dès la première fois que je suis venue, j'en suis tombée amoureuse. Le lac, les bords de la rivière. Et quand George m'a emmené en haut de la Willis Tower... Oh.. je.. J'arrive pas à me dire que... Qui a pu vouloir tuer mon mari ?
Erin : Nous pensons qu'il passer la frontière avec des armes.
Mme Wilenko : George ?
Jay : Il n'a pas été tué pour de l'insuline. Et on croit que l'or de son précédent voyage, son coffre était rempli de ces choses-là.
Mme Wilenko : C'est pas vrai, c'est un cauchemar.
Jay : Ces balles ont déjà tué 5 personnes.
Mme Wilenko : Non, vous faites erreur, George n'aurait jamais pu faire une chose pareille.
Erin : Est-ce que vous faites régulièrement la route avec lui ?
Mme Wilenko : Tous les 2 mois, en moyenne. On va toujours dans le même hôtel, je fais du shopping, il me dépose toujours dans le centre en arrivant, on n'a pas de si belles boutiques au Canada.
Dans une rue.
Voight : Comment ça va, Maurice ?
Maurice : Ça roule et toi ?
Voight : Ta entendu parlé d'une cargaison de fusil a écoulé ?
Maurice : Quel genre ?
Voight : Des fusils d'assaut. 50.
Maurice : J'ai entendu parler d'un arrivage du Canada. C'était pas très clair comme truc.
Voight : Ça commence à le devenir. Si t'entend quoi que ce soit, tu me tiens au courant. Maintenant autre chose, j'ai un truc à régler avec un mec qui s'appelle Trayzell, il fait partie des GD, quelqu'un a de l'influence sur lui ?
Maurice : Trayzell ? Non, ce type c'est un gros taré. Il a jamais écouté personne. Moi aussi j'ai un truc à te demander. Je sais que le procureur a un gars qui fourre son nez dans mes affaires, et je suis sur qu'il est en train de monter un dossier contre moi.
Voight : J'ai entendu parler de rien.
Maurice : Et beh moi je t'en parle. Voilà tes 5000 dollars. T'en aura plus, quand tu me donneras son nom.
Voight : Compte sur moi.
Radio : Ici Voight.
Antonio : On a du nouveau.
Sur une scène de crime.
Antonio : C'est les mêmes balles.
Jay : Vous réalisez la puissance de ces trucs ? Les experts ont retrouvé une balle qui est passée à travers la télé, le mur et qui a fini sa course dans le moteur d'un camion de glace de l'autre côté de la rue.
Voight : On en est maintenant à 7 homicides.
Erin : Notre veuve a menti. D'après son opérateur téléphonique, elle n'a pas mis les pieds dans le centre, elle a passé toute la journée à Edgewater.
Dans une salle d'interrogatoire.
Erin : On veut entendre la vérité, et on veut l'entendre vite.
Erin : Vous reconnaissez cet homme ?
Mme Wilenko : Quelle horreur.
Erin : Nous non plus, il a été défiguré par les balles que vous avez apportées ici avec votre mari.
Mme Wilenko : Pourquoi est-ce que vous faites ça ?
Jay : Parce que vous nous avez menti. Vous n'avez pas fait de shopping, vous étiez à Edgewater. Vous aviez un petit trafic bien juteux tous les 2. Vous avez commencé par des trucs simples, des ecstas, du shit et vous êtes devenu plus gourmands. Vous êtes passé aux armes, George a été tué et vous pouvez être accusé de complicité.
Erin : Alors vous allez recommencer depuis le début mais en disant seulement la vérité.
Mme Wilenko : Je suis aller voir un ami. Un ancien petit ami.
Jay : Si vous voulez mentir, mettez-y un peu de conviction.
Mme Wilenko : Vous pouvez l'appeler il vous dira tout.
Jay : Nom, numéro.
Erin : Je veux que vous me détailliez toute votre journée, tous vos déplacements, toutes les personnes à qui vous avez parler. Je veux absolument tout savoir.
Mme Wilenko : Je vous ai déjà dit ou j'étais !
Erin : Je veux des détails.
Mme Wilenko : On est parti ce matin à 4h30, on ne s'est pas arrêtés jusqu'à la frontière, juste après Ann Arbor, on a remis de l'essence, prit un café, je suis allée aux toilettes. George a reçu un appel de notre neveu.
Erin : Qui est ce neveu ?
Mme Wilenko : Il habite ici, il aime bien voir George. Oh non... Mikey n'est pas au courant.
Erin : Je suppose qu'il a un nom de famille.
À l'étage des renseignements.
Erin : Michael Ganz, il habite à East Garfield Park, il a un casier, cambriolage, possession de drogue. Il fait partie d'une bande.
Jay : L'ex est en fait un coup à 500 dollars et il a confirmé.
Jin : J'ai épluché les relevés téléphoniques de Ganz, et tous les appels qu'il a passés ses dernières 24 heures.
Jay : L'employé de la semaine, Jin! C'est toi.
Jin : Ils ont tous été passés vers le même numéro. Un portable enregistré au nom de Lucky M, prêteur sur gage, domicilié à Gage Park
Alvin : Lucky M ? Je connais l'oiseau. Je vais lui parler. Tu viens ?
Voight : Al ?
Alvin : Ouais ?
Voight : J'aurais besoin de toi après le service.
Alvin : Ok.
Antonio : C'est bon.
Alvin : Allez, viens.
Boutique du prêteur sur gage.
Alvin : M. Milner ?
M. Milner : Alvin.
Alvin : Alors, comment va le marché de l'arnaque ?
M. Milner : Je pratique des taux honnêtes.
Alvin : C'est bien.
M. Milner : Ouais.
Alvin : Et sinon, les fusils, en provenance du Canada ?
M. Milner : J'ai mis des gens en contact, rien de plus.
Alvin : Quoi ? Qu'est-ce que ça veut dire ?
M. Milner : Rien du tout, vous savez, je disais ça comme ça.
Alvin : Non, j'sais pas.
M. Milner : Je sais rien sur des fusils canadiens.
Alvin : Alors pourquoi ta dit, «j'ai mis des gens en contact, rien de plus.» ? C'est bizarre.
M. Milner : Parce que vous me rendez nerveux.
Alvin : Pourquoi ?
M. Milner : Pourquoi ?
Alvin : Ouais.
M. Milner : Parce que la dernière fois que vous êtes passé, vous avez envoyé un club de golf dans ma vitrine.
Alvin : Tu les as eu ici ?
M. Milner : Alvin ! J'sais rien je vous dis. Ok ?
Alvin : Tu peux, me faire voir ça ? Ce petit truc, là. Tu vois ? Juste là, regarde. Ouais.
Dans la rue.
Alvin : La vente est prévue avec Ganz, à 2h, demain après-midi.
Chez les Corson.
Jay : Salut Danny !
Danny : Salut, Jay.
Jay : Du pastrami pour Danny, et de la viande fumée pour Gail.
Gail : Oh, dit donc ! On a de quoi en manger jusqu'à Thanksgiving !
Jay : Tant mieux.
Gail : Assied-toi, je vais te préparer un sandwich.
Jay : Euh non, c'est gentil, il faut que j'y aille.
Gail : Oh, allez ! Laisse-moi au moins te donner une part de ce délicieux gâteau.
Gail : C'est toujours un jour très difficile pour lui. Il y touchera pas. Et tous les ans, il finit à la poubelle.
Jay : Petite part, alors ?
Devant chez le Rodiger :
Officier : Papier s'il vous plaît ?
Jay : Halstead, Renseignements.
M. Rodiger : C'est du harcèlement !
Jay : Je fais que manger un morceau de gâteau. Aujourd'hui, y aurait dû y avoir un anniversaire !
M. Rodiger : Arrêtez cet homme ! Obligez-le à partir !
Officier : Je suis désolé, monsieur.
M. Rodiger : Sale bande d'enfoirés ! Vous vous soutenez entre vous ! C'est toujours pareil !
Jay : Ça fait 7 ans aujourd'hui, Lonnie, t'entend ?
M. Rodiger : Tire toi ! Dégage !
Jay : Ça fait 7 ans ! Il aurait eu 15 ans aujourd’hui !
M. Rodiger : J'appelle mon avocat. On va demander une interdiction d'approche !
Jay : Un jour, j'te donnerai une bonne raison d'en demander une ! Putain ! Pour toi et ton détraqué de fils !
Dans le parking du district.
Jasmine : Salut. J'ai rien sur les fusils, désolé.
Antonio : Et c'est tout ? La prochaine fois, envoie un message.
Jasmine : Et j'ai aussi mon dîner qui a été annulé demain soir alors, c'est bon. Faut que je m'habille comment ?
Antonio : Un truc classe, et pas trop voyant. Vas-y, répète.
Jasmine : Je porterai, un truc classe et pas trop voyant.
Antonio : Au Ciao Amore à 19h.
Jasmine : Ok. À demain.
Chez Erin.
Erin : Severide.
Severide : Salut.
Erin : Salut.
Severide : Euh.. Je.. je suis désolé, je savais pas vers qui me tourner alors.. euh.. je sais pas, l'enquête à encore rien donnée, et je sais pas du tout quoi faire !
Erin : On va la retrouver, d'accord ?
Severide : Ouais...
Erin : Je te le promets. Les meilleurs hommes, sont sur le coup. Et je sais que c'est très angoissant de la savoir dans cette situation, mais on va la retrouver.
Dans un entrepôt.
Alvin : Allez, vient.
Voight : Salut, Trayzell.
Voight : Mon pote, je suis venu en personne te proposer un marché, et toi t'a voulu négocier. Casper a peut-être pas eu le temps de te le dire avant de se faire coffrer, mais j'ai horreur de négocier. Il te la pas dit ? Mes offres, ne sont valables qu'une fois.
C'est bon, détache-le. Et.. regarde-moi... regarde-moi. D'Anthony est libre, à partir de cet instant. Et si tu touches à un seul de ses cheveux, je t’amènerai faire un voyage, dont tu reviendras jamais. Est-ce que c'est clair ? Bien ! On se tire.
Dans le sous-sol du district.
Antonio : Faut qu'on fasse super gaffe. On sait que Mike a du matos sous le coude.
Adam : Salut
Alvin : T'es frais comme une rose ce matin.
Adam : Ouais, très drôle. Est-ce qu'on des nouvelles du type sur qui j'ai tiré ?
Alvin : Toujours en soin intensif.
Adam : Ouais
Alvin : Elle a dit quoi la psy ?
Adam : Oh, que je tenais plutôt bien le choc. Je pense qu'elle parlait du fait de bosser avec vous.
Alvin : T'es dans le camion.
Adam : Hein ? Pourquoi je fais pas la transaction ?
Alvin : Parce qu'Antonio l'a demandé avant.
Adam : C'est une blague. Al, ça va durer encore longtemps ? Je vais bien j'vous dis.
Voight : C'est Noël.
Adam : Quoi ?
Voight : Noël, c'est notre code d'intervention.
Erin : Hank ? J'ai fais une réservation chez Carmine pour vendredi soir. J'ai... J'ai demandé la salle du fond, qui tu veux que j'invite ?
Voight : Et si on restait en petit comité, rien que nous 3, d'accord ?
Erin : Ah ouais ?
Voight : J'crois pas qu'il devrait retrouver ses vieilles fréquentations tout de suite.
Erin : Ok.
A côté d'une usine.
Antonio (radio) : Ça y est, voilà Ganz.
Ganz : Milner dit que vous cherchez du matos ?
Antonio : S'il est d'aussi bonne qualité que ce qu'il paraît, on est prêts à tout acheté.
Ganz : Dans ma voiture. Venez.
Alvin : Hum, sérieux ?
Ganz : Et j'en amène qu'un. Avec le blé.
Antonio : Alors, on arrête là.
Ganz : Comme vous voulez.
Alvin : Attend, whoa, whoa, une petite seconde, tu veux ? D'accord.
Antonio : Non.
Alvin : Ça va aller, c'est un petit ange.
Antonio (radio) : On bouge.
Dans la voiture de Ganz.
Ganz : C'est quoi ton nom ?
Alvin : Ça te regarde pas. On se dirige vers le nord. J'ai entendu dire que t'avais une bande.
Ganz : Tu feras bientôt sa connaissance.
Dans le van.
Jay : Qu'est-ce qui a ?
Jin : On a perdu la liaison. Et son signal GPS.
Dans la voiture de Ganz.
Alvin : Oh, on prend l a direction de McCook.
Ganz : Pourquoi, t'arrête pas de dire où on va ?
Alvin : J'suis dans une bagnole avec des mecs que j'ai jamais vus, et qui sont en train de me conduire vers une destination inconnue. Du coup, je... tu comprends, je parle tout seul.
Ganz : Arrête toi ici. Donne ton téléphone.
Alvin : J'ai pas de mouchard.
Ganz : Donne. Ouvre la portière, et t'es mort.
Alvin : Sérieux, c'est vraiment n'importe quoi.
Ganz : Roule.
Alvin : Y a combien de kilomètre au compteur ?
Ganz : Pourquoi ?
Alvin : Comme ça, au retour, on sait où vous devez m'arrêter pour que je récupère mon téléphone.
Dans le van.
Adam : Tu peux le localiser avec quelle précision ?
Jin : Six mètres. Environ. Enfin, j'espère.
Dans un entrepôt.
Ganz : Fais voir le fric.
Alvin : Voila, déjà 25 000. J'ai laissé l'autre moitié à mon associé. Ta vraiment cru que, je viendrai seul avec tout l'argent ? Alors, je peux voir la marchandise ? Ouh... Regardez-moi ça. On se croirait presque à Noël.
Homme : Les flics !
Jay : Police !
Coups de feu.
Voight : On bouge !
Adam : Pose ton flingue. J'hésiterai pas à te tirer dessus, je te préviens. Pose ton flingue. Àgenoux et les mains derrière la tête. Magne-toi ! Oh.
Jay : Burgess, Atwater, deux suspects se dirigent vers vous. Ils vont sortir par l'arrière.
Adam : Ça va ?
Alvin : Ouais.
Alvin : Le mouchard était planqué dans la ceinture abruti. Comme ça, quand tu seras en taule et qu'on te demandera comment t'es tombé, t'aura un truc à raconter.
Voight : Bon boulot, les gars.
Erin : Ouais, on a assuré.
Jay : Ouais, c'était du bon travail d'équipe.
Adam : Et Al, voilà ce que j'appelle une opération réussite.
Alvin : J'avais dit que c'était un ange.
Dans le sous-sol du district.
Voight : Je dois aller régler un truc.
Erin : Quoi ? Tout de suite, là ?
Voight : Dit à Justin que j'ai eu un empêchement.
Erin : Attends, tu te fous de moi, là ?
Voight : Contente toi de faire ça pour moi, d'accord ? Merci.
Erin : Non. Tu veux vraiment me faire croire que ce truc à faire est lus important que d'aller chercher ton fils unique le jour, où il sort de taule ?
Voight : Oui. Dit lui que je l'aime et que je le verrai demain.
Au Ciao Amore
Laura : C'est ton troisième verre.
Antonio : Sans ça, je serai déjà parti en courant, tu vois ? Jasmine.
Jasmine : Ça veut dire quoi ?
Antonio : Ma femme voulait te rencontrer.
Jasmine : Mais pourquoi tu m'as pas prévenu ?
Antonio : Parce que tu serais jamais venue.
Jasmine : C'est vrai.
Antonio : Jasmine, Laura. Laura, Jasmine.
Laura : Bonsoir, c'est un plaisir de vous rencontrer.
Jasmine : Écoutez, madame Dawson, j'ai compris, ok ? Je comprends que ça vous plaise pas de savoir qu'il fréquente quelqu'un, quelqu'un comme moi, mais laissez-moi-vous rassurer, d'accord ? Votre mari ne m'intéresse pas et je ne l'intéresse pas non plus, alors maintenant, on n'en a fini avec ce petit face à face.
Laura : Attendez, je... j'en ai pas pour longtemps. Je voulais vous donner ça. Allez-y, ouvrez. C'est, Saint-Nicolas, le saint patron des enfants. Vous avez aidé à sauver la vie de notre fils, je voulais juste vous remerciez, en personne.
Antonio : Pourquoi tu m'as pas dit que c'était pour ça que tu voulais la voir ?
Laura : Parce que tu l'aurais jamais amené.
Jasmine : C'est la première fois que la femme de quelqu'un me remercie.
Laura : Eh bien, venez vous asseoir.
Antonio : Vient, installes-toi.
Dans la rue.
Atwater : Bonsoir, mesdemoiselles.
Les filles : Bonsoir, bonsoir Kévin.
Atwater : Whoa.
Burgess : Si tu prends une seule photo de moi dans cette tenue, je te jure que tu le regretteras.
Atwater : Bien reçu.
Burgess : Parfait ! C'est parti les filles, on va s'éclater !
Atwater : Amuses-toi bien.
Durant la fête de fiançailles.
Dame : Bonsoir Wendy.
Wendy : Merci beaucoup.
Dame : Il t'a gâté.
Dehors.
Adam (téléphone) : Oui, au revoir et merci encore de m'avoir prévenu.
Adam : Hey, salut ma puce.
Wendy : C'était qui au téléphone ?
Adam : Euh... c'était...
Wendy : Adam ?
Adam : Alors, écoute, il faut que je te parle, d'accord ?
Wendy : D'accord.
Adam : Bien, euh, ils m'ont pas fait sortir de l'académie pour bosser dans un bureau. J'ai été pris dans le service des Renseignements. Je suis désolé.
Wendy : C'est chouette, hein ?
Adam : Ouais, t'imagine même pas. C'est un truc de malade. Y a des gars qui ont 10 ans de service, qui serait prêt a donner un rein pour intégrer cette unité.
Wendy : Oui, mais... au téléphone, c'était qui ?
Adam : J'ai était pris dans une fusillade hier.
Wendy : Quoi ?
Adam : Mais, ça va...
Wendy : Oh, c'est pas vrai, qu'est-ce qui s'est passé ?
Adam : J'ai... tirer sur quelqu'un qui a essayé de me tuer, et il est mort. C'était l’hôpital qui m’appelait.
Wendy : Non mais tu me racontes des histoires là ?
Adam : Non. Non, je plaisanterai pas avec ça. Je voulais que tu sois au courant, au cas où, tu me trouverais distrait ce soir, mais je le serai pas parce que ça va, d'accord ? Hey, regarde-moi. Je vais bien. Tout va bien. Et maintenant, allez viens, d'accord ? Dépêches-toi, on va faire la fête.
Wendy : Adam, comment ça peut aller ?
Adam : J'en sais rien, ça va, c'est tout ce que je peux te dire. Allez, viens, ils vont se demander ce qu'on fait.
Devant la prison.
Justin : Je suis libre ! Messieurs, ce fut un plaisir.
Erin : C'est bon de te revoir Justin ! Salut.
Justin : J'avais oublié à quel point, t'étais jolie.
Erin : Oh... Arrête ! Toute façon là, t'est pas très difficile.
Justin : Ouais, possible. Alors, où est mon cher père ?
Erin : Euh... un truc dont il devait s'occuper.
Justin : Ah ouais ? Ça me surprend pas, c'est bizarre.
Erin : Oh... C'est pour le travail.
Justin : Ouais, comme d'habitude. De toute façon, ça met égal, c'est toi que j'avais le plus envie de voir.
Erin : Viens, j'ai réservé dans un bon restau... Whoa, whoa, mais enfin, c'était quoi ça ?
Justin : Je suis plus un gamin, tu sais maintenant. Et je te le prouverai. Allez, viens. Tu veux que je prenne le volant ou tu préfères conduire ?
Erin : Monte dans la voiture.
Dans Chicago.
Erica : Quand est-ce qu'on arrête Maurice ? Laissez-moi reformuler, il faut qu'on arrête Maurice, c'est urgent.
Voight : Et on le fera, dans deux semaines, max.
Erica : Deux semaines, à partir d'aujourd’hui ?
Voight : Deux semaines, à partir d'aujourd’hui.
Erica : Ah, ah, ah. Bien tenter, où sont les 5000 dollars ? Il vous verse 5000 par semaine, où sont-ils ?
Voight : Il les avait pas.
Erica : Ça, c'est très étrange. Parce que mon contact dit qu'il roule sur l'or.
Voight : C'est plutôt avec lui que vous devriez parler. Il en sait plus que moi.
Erica : Hank, si jamais je découvre que vous m'avez menti, vous le paierez très cher.
Devant un café.
Voight : Tout va bien se passer, mon grand.
D'Anthony : C'est juste que... j'en sais rien. Comment vous savez que je déconnerai pas et qu'elle me renverra pas ?
Voight : Je le sais pour deux raisons. La première, c'est que t'es un bon gamin. Et la seconde, c'est parce que tu sais que si tu déconnes là-bas, je viendrai personnellement pour te botter le cul.
Shona : Ta tellement grandi, c'est fou.
D'Anthony : Salut, tante Shona.
Voight : Hank Voight.
Shona : Bonsoir. Shona Williams. Ravi de vous rencontrer.
Voight : Tenez, pour aider à couvrir les frais.
Shona : Ah non, je peux pas accepter.
Voight : Croyez-moi, d'ici à ce que l'appétit de votre neveu se soit calmé, ça couvrira à peine les frais de petit déjeuner.
Shona : C'est vraiment très gentil, je vous remercie beaucoup.
D'Anthony : Merci.
Voight : Y a pas de quoi.